Le concours Je filme le métier qui me plaît permet aux jeunes de se familiariser avec le monde de l’entreprise.
Les inscriptions sont ouvertes*. Les jeunes de 12 à 26 ans de la 12e édition du concours Je film le métier qui me plaît peuvent tenter leur chance. La démarche ? Réaliser, au travers d’un projet pédagogique conduit sous la responsabilité d’un enseignant ou d’une équipe pédagogique, une vidéo de 3 minutes sur un métier ou une formation, qu’ils veulent découvrir, croient connaître ou pour lequel ils ont des représentations erronées. Le but ? Se familiariser avec le monde de l’entreprise et “casser des idées reçues sur les métier mais aussi sur les formations”.
Jury et prix
Chaque année, est organisée une cérémonie de remise des prix (en mai 2019), avec un jury digne de ce nom : le réalisateur Costa-Gravas, l’explorateur Jean-Louis Étienne, le journaliste et écrivain François de Closets et la journaliste Tina Kieffer, le tout présidé par Jean Dujardin. Au cours de la saison 11, plus de 60 000 jeunes ont participé. Plus de 400 métiers différents ont été filmés. 648 films ont été sélectionnés et 160 primés.
* Les candidats ont jusqu’au 19 janvier 2019 pour inscrire leur projet sur jefilmelemetierquimeplait.tv et jusqu’au 15 mars 2019 pour envoyer leur vidéo.
Pour aller plus loin
Réinsertion professionnelle : « Quand on sort de prison, on craint de ne pas être engagé, d’être jugé »
À l’occasion de la semaine de l’entreprise responsable et inclusive, la Fondation du Groupe M6, qui œuvre pour la réinsertion professionnelle d'anciens détenus, a mis en avant ses leviers d’action. Parmi les initiatives pour favoriser la réinsertion et ainsi lutter contre la récidive, des rencontre entre des salariés d'entreprises et d’anciens détenus en recherche de rebond. Témoignages.
18 octobre 2024
Reprendre le travail après un accident : « Il faut apprendre à vivre avec son handicap »
Au cours de la vie professionnelle, les accidents du travail peuvent survenir à tout moment. Tout particulièrement dans les professions plus exposées aux risques comme les usines et les sites industriels. Dans certains cas, cela peut causer un handicap qui implique tout un travail psychologique et de rééducation pour retrouver le fil de sa carrière. Victor, 30 ans, amputé de trois phalanges à la suite d’un accident professionnel, en témoigne.
26 août 2024