Emploi

Les jeunes favorisent les conditions de travail dans le choix de leur entreprise  

Selon les résultats d’une étude menée par l’agence Epoka et Harris interactive sur la vision des jeunes sur l’emploi et le marché du travail, ils sont de plus en plus nombreux à souhaiter travailler dans une grande entreprise internationale, mais sont aussi a la recherche de process de recrutements simplifiés.

La crise sanitaire que nous traversons aura un impact profond sur l’ensemble des actifs mais plus particulièrement sur les plus jeunes. Ainsi, d’après un sondage mené par l’agence Epoka et Harris Interactive, plus de la moitié d’entre eux accordent de l’importance aux conditions de travail dans les critères de choix d’une entreprise. Viennent également le secteur d’activité cité par 37 % d’entre eux, la politique de rémunération et les avantages sociaux (35 %), mais aussi la réputation de l’organisation au niveau de l’ambiance de travail.

 

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Prestige et réputation

Par ailleurs, pour près d’un tiers des répondants, le prestige, l’image et la réputation ont une importance dans le sélection de leur futurs employeur ainsi que la localisation géographique ou encore la politique RSE. Quant aux facteurs qui les inciteront a postuler auprès d’une entreprise, ils sont nombreux a mettre en avant l’accès direct aux offres d’emploi et une candidature simplifiée « sans avoir a créer de compte » pour 53 % d’entre eux.

Dans ce contexte, la majorité des jeunes déclarent qu’un site web bien fait leur donne plus envie de postuler dans une entreprise. Près de la moitié postuleront si le processus de recrutement contient peu d’entretiens ou alors des rendez-vous rapprochés. L’étude met aussi en lumière les souhaits des étudiants et jeunes diplômés pour commencer leur carrière. Ainsi on apprend que plus de la moitié d’entre eux souhaitent entrer dans une grande entreprise internationale ou française implantée à l’international. 24 % voudraient débuter dans une start-up, un chiffre en baisse de 5 points comparé à l’année dernière et à peine 17 % aimeraient se lancer à leur compte.

 
 

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